Bienvenue sur mon blog "Parenthèse Consciente"
Le cognitivisme : penser la pensée
Pourquoi certaines pensées s’ancrent en nous, tandis que d’autres s’effacent aussitôt ? Le cognitivisme, tournant majeur de la psychologie contemporaine, propose une réponse en explorant les mécanismes invisibles de la pensée : perception, mémoire, raisonnement, attention, langage, décision… Cet article vous invite à plonger dans la boîte noire de l’esprit, là où se joue, silencieusement, une grande partie de ce que nous sommes.
S’aimer, juste un peu
« Je viens vous voir pour m’aimer. » Entendue lors d’un échange entre thérapeutes, cette phrase m’a arrêtée. Elle dit sans détour ce que tant de personnes ne savent pas formuler. Elle ouvre un espace de vérité nue, là où tant de récits se sont construits sur le silence ou la survie. Elle résonne comme une permission intime : celle de se dire, enfin, sans stratégie ni détour. Ce texte explore ce lien à soi qui vacille, quand s’aimer n’a jamais été une évidence.
Comprendre l’attachement : de Bowlby à Cyrulnik
Avant même les mots, il y a les gestes. Une présence, une attention, un contact. Ces premiers liens ne sont pas accessoires : ils fondent notre manière d’être au monde. Bowlby l’a montré, Ainsworth l’a affiné, Cyrulnik l’a incarné. L’attachement n’est pas une théorie figée, c’est une histoire intime, universelle, parfois blessée, toujours capable de renaître. Comprendre ce lien, c’est comprendre ce qui nous relie – et ce qui peut nous réparer.
Le béhaviorisme : quand le comportement devient objet d’étude
Le béhaviorisme rompt avec l’introspection : il délaisse l’âme pour les gestes, l’écoute intérieure pour l’observable. L’homme devient un organisme à conditionner. Que reste-t-il de l’humain quand l’indicible est écarté ? Ce courant scientifique, en quête de rigueur, redéfinit les contours du psychisme en évacuant le mystère. C’est ce que je vous propose d’explorer…
Du stress au burnout : comment repérer les signaux faibles en entreprise
Des silences qui pèsent plus que des cris, des gestes qui racontent l’épuisement sans mots. Les signaux faibles sont des murmures du corps et de l’âme, souvent ignorés, jamais anodins. Être attentif, c’est offrir un regard qui soutient avant que le souffle ne se brise. Prévenir, c’est remettre du vivant là où le rythme a laissé des ombres. Ce texte explore ces signaux discrets qui précèdent l’épuisement.
Qualité de vie au travail : un levier de performance durable
La qualité de vie au travail est désormais un levier stratégique de performance durable et de cohésion collective. Pensée avec humanité, elle renforce l’engagement, la coopération, la résilience et le sentiment d’appartenance. Miser sur le bien-être, c’est protéger les personnes, prévenir l’épuisement et consolider l’organisation dans la durée.
L’introspection, entre lucidité et illusion
L’introspection est une traversée intérieure, lucide et parfois vertigineuse. Elle éclaire nos ombres autant qu’elle révèle nos élans enfouis. Entre vérité et illusion, elle demande courage, lenteur et tendresse. Se rencontrer soi-même, c’est entamer le plus intime des voyages.
Santé mentale : pourquoi consulter avant d’être en crise
Consulter, c’est parfois écouter le vent avant qu’il ne devienne tempête. Dans les silences du quotidien, des murmures appellent à se retrouver. La thérapie devient alors un lieu d’alignement, doux et essentiel.